Élisabeth Guigou

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Élisabeth Guigou
Illustration.
Élisabeth Guigou en 2013.
Fonctions
Présidente de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale

(4 ans, 11 mois et 23 jours)
Législature XIVe (Cinquième République)
Prédécesseur Axel Poniatowski
Successeur Marielle de Sarnez
Vice-présidente de l'Assemblée nationale

(11 mois et 27 jours)
Président Bernard Accoyer
Législature XIIIe (Cinquième République)
Députée française

(5 ans)
Élection 17 juin 2012
Circonscription 6e de la Seine-Saint-Denis
Législature XIVe (Cinquième République)
Groupe politique SRC (2012-2016)
SER (2016-2017)
Prédécesseur Claude Bartolone
Successeur Bastien Lachaud

(10 ans)
Élection 16 juin 2002
Réélection 17 juin 2007
Circonscription 9e de la Seine-Saint-Denis
Législature XIIe et XIIIe (Cinquième République)
Groupe politique SOC (2002-2007)
SRC (2007-2012)
Prédécesseur Véronique Neiertz
Successeur Claude Bartolone

(22 jours)
Élection 1er juin 1997
Circonscription 1re de Vaucluse
Législature XIe (Cinquième République)
Groupe politique SOC
Prédécesseur Marie-Josée Roig
Successeur Cécile Helle
Ministre de l'Emploi et de la Solidarité

(1 an, 6 mois et 18 jours)
Président Jacques Chirac
Gouvernement Lionel Jospin
Prédécesseur Martine Aubry
Successeur François Fillon
Garde des Sceaux, ministre de la Justice

(3 ans, 4 mois et 14 jours)
Président Jacques Chirac
Gouvernement Lionel Jospin
Prédécesseur Jacques Toubon
Successeur Marylise Lebranchu
Députée européenne

(2 ans, 11 mois et 16 jours)
Élection 12 juin 1994
Législature 5e
Groupe politique PSE
Ministre déléguée aux Affaires européennes

(2 ans, 5 mois et 27 jours)
Président François Mitterrand
Gouvernement Michel Rocard II
Édith Cresson
Pierre Bérégovoy
Prédécesseur Édith Cresson
Successeur Alain Lamassoure
Biographie
Nom de naissance Élisabeth Vallier
Date de naissance (77 ans)
Lieu de naissance Marrakech (Maroc)
Nationalité Française
Parti politique Parti socialiste
Conjoint Jean-Louis Guigou
Diplômée de Université Montpellier 3
Université d'Aix-Marseille
IEP d'Aix-en-Provence
ENA
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Élisabeth Guigou, née Vallier le à Marrakech (Maroc), est une femme politique française.

Membre du Parti socialiste, elle est la première femme nommée à la tête d'un ministère régalien en France lorsqu'elle devient garde des Sceaux, ministre de la Justice, en 1997.

Élue députée dans le Vaucluse (1997) puis dans la Seine-Saint-Denis (2002-2017), elle préside la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale de 2012 à 2017.

Biographie

Enfance et formation

Née Élisabeth Vallier le à Marrakech[1],[2], elle est issue d'une famille provençale originaire d'Apt. Elle a passé son enfance et son adolescence à Marrakech où elle est née. Son père Georges Vallier, né à Beaucaire (Gard) en 1920, horticulteur et propriétaire au Maroc d'une usine agroalimentaire[3], a épousé Jeannine Flecchia (1920-2010) à Marrakech en 1943. Après l'indépendance du Maroc le 2 mars 1956, la famille revient en France.

Elle fait ses études secondaires au Maroc, au lycée Victor-Hugo de Marrakech[4] et au lycée Descartes de Rabat. Elle est licenciée en anglais de la faculté des lettres de Montpellier et est diplômée d'études supérieures en littérature américaine de l'Université Paul-Valéry Montpellier 3. Son mémoire porte sur Jack Kerouac et la Beat Generation. Elle est par ailleurs diplômée d'études universitaires générales en sciences économiques et sociales de l'Université d'Aix-Marseille.

Elle prépare l'ENA au centre de préparation à l’administration générale (CPAG) de l'Institut d'études politiques d'Aix-en-Provence.

Elisabeth Guigou est diplômée de l'École nationale d'administration (promotion Simone-Weil).

Vie familiale

Le , elle épouse Jean-Louis Guigou, conseiller technique de Michel Rocard, agrégé d'économie, professeur d'université, ayant également exercé diverses fonctions publiques (dont délégué de la DATAR)[5]. Ils ont un enfant prénommé Édouard[6], né en 1980.

Carrière professionnelle

À sa sortie de l'ENA en 1974, Élisabeth Guigou est nommée administratrice civile au ministère des Finances où elle restera jusqu'en 1979, date à laquelle elle part comme attachée financière auprès de l'ambassade de France en Grande-Bretagne. En 1981 et 1982, elle rejoint la direction du Trésor en qualité de chef de bureau des États d'Europe, d'Amérique et d'Asie. Secrétaire générale du Club de Paris, elle est le premier directeur de cabinet du directeur du Trésor[7].

En 1982, elle est conseillère technique au cabinet de Jacques Delors, ministre de l'Économie et des finances, avant d'être nommée conseillère technique au secrétariat général de l'Élysée, chargée de l'économie internationale, du commerce extérieur, des affaires européennes et des sommets économiques internationaux, poste qu'elle occupera jusqu'en 1988.

De 1985 à 1990, Élisabeth Guigou exerce la fonction de secrétaire générale du Comité interministériel pour les questions économiques de coopération européenne (SGCI), auprès du Premier ministre, poste dans lequel elle va coordonner les positions françaises à Bruxelles. De 1988 à 1990, elle est chargée de mission auprès du président de la République, pour l'Europe et l'Économie internationale.

Parcours politique

Élisabeth Guigou, à un meeting de Ségolène Royal, en 2007.

Élisabeth Guigou s'engage en politique dans les années 1960 à la Convention des institutions républicaines, puis au PSU de Michel Rocard dans les années 1970 et enfin au PS à partir de 1973. Issue de la promotion Simone-Weil de l'ENA, elle entre au cabinet de Jacques Delors en 1982, avant de rejoindre celui de François Mitterrand à l’Élysée où elle est chargée des questions économiques et financières internationales. En 1986, outre ses fonctions à la présidence de la République, elle est nommée secrétaire générale du comité interministériel pour les questions économiques européennes. En 1988, elle est chargée par le président de la République de la coordination de la politique de la France à l'égard des pays de l'Est.

Elle est membre du conseil politique de la « Fondation Agir contre l'exclusion » de Martine Aubry.

D’ à , elle est ministre déléguée aux Affaires européennes, remplaçant Édith Cresson. Elle participe à la rédaction, à la négociation et à la mise en place du traité de Maastricht. Lors de la campagne pour le référendum de ratification du traité à l'été 1992, elle parcourt la France et le grand public découvre cette nouvelle femme politique. Elle promet alors : « L'Europe ne vous enlèvera rien. Et surtout pas vos avantages sociaux. La monnaie unique permettra de nous protéger contre les effets des désordres monétaires internationaux et des récessions chez les autres ».

Poussée par François Mitterrand, elle s'engage dans la campagne des régionales de 1992 en Provence-Alpes-Côte d'Azur, où elle conduit la liste dans le département de Vaucluse, la liste des Bouches-du-Rhône étant conduite par Bernard Tapie[8].

En 1994, elle se présente aux élections européennes et est élue au Parlement européen. Elle devient présidente de la délégation socialiste française au Parlement européen et entre au Conseil national et au Bureau national du PS. Elle représente le Parlement européen à la Conférence intergouvernementale qui négocie le traité d'Amsterdam[réf. nécessaire].

Elle entre en au secrétariat national du PS, où elle est chargée des questions sociales par Lionel Jospin, premier secrétaire.

En 1997, elle est élue députée du Vaucluse. En , elle est nommée garde des Sceaux puis en , ministre de l'Emploi et de la Solidarité dans le gouvernement Lionel Jospin. Elle refuse d'intervenir dans les dossiers judiciaires individuels tout en conduisant une politique pénale autour de quelques grandes priorités : associer prévention-sanction-réinsertion contre la délinquance, respecter la présomption d'innocence, diminuer la surpopulation pénitentiaire et rénover les prisons, organiser le suivi social et judiciaire des délinquants sexuels.

Elle organise la fin du monopole des commissaires-priseurs sur les ventes publiques et la réforme de la carte judiciaire des tribunaux de commerce. Elle défend aussi la parité en politique et fait réformer la Constitution en ce sens. Elle porte la loi du 16 mars 1998 relative à la nationalité, dite « loi Guigou ». Elle fait adopter une loi contre la corruption, et avec Dominique Strauss-Kahn la première liste des paradis fiscaux[réf. nécessaire]. Elle défend l'adoption du PACS et se prononce à cette occasion contre le mariage et l'adoption pour les couples homosexuels[9]. Elle fait faciliter les procédures de divorce. Elle fait aussi prévaloir les droits des jeunes issus de l'immigration mais nés en France, de devenir français automatiquement et se prononce pour le droit de vote des étrangers non européens aux élections locales.

Candidate aux élections municipales de 2001 à Avignon, elle est largement battue au second tour par Marie-Josée Roig, maire RPR sortante. Elle décide alors de se présenter dans la Seine-Saint-Denis en 2002, où elle est élue députée de la neuvième circonscription de la Seine-Saint-Denis. Elle est réélue en 2007. En 2008, elle participe à la victoire du PS à la mairie de Noisy-le-Sec, dont elle devient maire-adjointe chargée de l'intercommunalité, mais des discordes dans la majorité municipale amènent à des élections anticipées en 2010 remportées par la droite.

Elle est présidente fondatrice et coprésidente de l'association Europartenaires, son propre cercle patronal, et son lobby féministe Femmes d’Europe. En outre, elle siège au conseil d’administration de la fondation de Jacques Delors, Notre Europe. Elle a défendu le « oui » au référendum du 29 mai 2005, avec bonheur dans sa fédération socialiste en 2004, mais sans succès envers ses électeurs l'année suivante. Élisabeth Guigou est aussi membre du conseil d'administration du think tank Les Amis de l'Europe. En 1990, elle entre au club Le Siècle. Elle copréside, avec Abderrahmane Hadj-Nacer, le comité de pilotage politique du Think Tank Ipemed qui se consacre à la coopération euro-méditerranéenne. Elle est encore membre de la Commission Trilatérale[10]. Par ailleurs, depuis , elle est membre d'honneur du think tank « Des femmes au service de l'homme »[11], un think tank exclusivement féminin. Son nom circule pour être nommé chef de la diplomatie européenne mais celui de Catherine Ashton est retenu[12],[13]. À partir de 2014, elle préside la Fondation Anna Lindh[14].

Après la démission de la ministre des Affaires étrangères Michèle Alliot-Marie pour des propos maladroits et sa proximité avec le régime Ben Ali en Tunisie, Élisabeth Guigou est mise en cause pour sa proximité avec Aziz Miled, qui est alors vice-président du conseil de surveillance et l'un des financiers de l'Institut de prospective économique du monde méditerranéen (Ipemed), une association créée en 2006 parrainée par l'ancienne ministre de la Justice, dont le mari, Jean-Louis Guigou, est alors délégué général[15]. Elle en démissionne le lendemain[16].

Lors de l'investiture pour les élections législatives de 2012, la sixième circonscription de Seine-Saint-Denis a été réservée pour la parité par le PS[17]. Sa circonscription étant remodelée lors du redécoupage électoral de 2009, elle se présente dans la nouvelle sixième circonscription, qui regroupe les villes d'Aubervilliers et Pantin, après s'être soumise au vote des militants[18]. Après avoir été réélue, elle se déclare candidate à la présidence de l’Assemblée nationale[19], mais est devancée lors du vote interne au groupe socialiste par Claude Bartolone et Jean Glavany. Elle devient finalement présidente de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale, fonction qu'elle occupe en 2012 à 2017.

Elle annonce en son intention de briguer la succession de Catherine Ashton au poste de Haut Représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité après les élections européennes de [20]. C'est finalement l'italienne Federica Mogherini qui est désignée.

Elle parraine la candidature de Benoît Hamon pour l'élection présidentielle de 2017[21]. Candidate à sa réélection lors des élections législatives de 2017, elle est battue dès le premier tour. Par la suite, elle déclare qu'elle « arrête la politique d’un point de vue électoral »[22].

Le , dans une tribune, elle annonce son soutien à la liste « Renaissance », portée par la majorité présidentielle, pour les élections européennes 2019. Elle y défend notamment la vision d'Emmanuel Macron et son « mérite » sur la souveraineté européenne, la transition écologique, la cohésion européenne, la culture et l'éducation. Elle soutient également l'idée d'une coalition alliant les Verts, les sociaux-démocrates et les éventuels élus de la liste Renaissance[23].

En décembre 2020, elle devient présidente de la Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants[24],[25]. Elle en démissionne le , alors qu'Olivier Duhamel, dont elle est proche, est accusé d'inceste[26].

Elle soutient Emmanuel Macron pour l'élection présidentielle de 2022. Elle fait partie de ses « relais de la société civile » dans le domaine de la justice[27].

Le 1er février 2023, elle participe à une audition devant la commission des Lois du Sénat, après que le président de la République l'a proposée aux fonctions de membre du Conseil supérieur de la magistrature[28].

Prises de position

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Elle se prononce en 2016 contre la gestation pour autrui[29].

Détail des mandats et fonctions

Au Parlement européen

À l’Assemblée nationale

  •  : députée de la 1re circonscription de Vaucluse (démission en raison de ses fonctions ministérielles).
  •  : députée de la 9e circonscription de la Seine-Saint-Denis.
  •  : députée de la 9e circonscription de la Seine-Saint-Denis.
    •  : vice-présidente de la commission des Affaires étrangères.
    •  : vice-présidente de l'Assemblée nationale.
  •  : députée de la 6e circonscription de la Seine-Saint-Denis.
    •  : présidente de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.

Au niveau local

Au sein du PS

  • Membre du bureau national du PS.
  • Secrétaire nationale du PS, chargée de la réforme de l'État et des collectivités territoriales (2012).
  • Secrétaire nationale du PS, chargée des questions sociales (1995-1997).
  • Responsable du pôle institutions et territoires au Parti socialiste (depuis ).

Autres fonctions

Décoration

Publications

  • Pour les Européens, Flammarion, 1994.
  • Être femme en politique, Plon, 1999.
  • Une femme au cœur de l’État, Fayard, 2000, entretiens avec Pierre Favier et Michel Martin-Roland.
  • Exclusion sociale et Pauvreté en Europe, La Documentation française, 2001.
  • Le sacre du temps libre, L'Aube, 2002.
  • Exclusion et liens financiers : Rapport du Centre Walras 2002, Economica, 2002.
  • Je vous parle d'Europe, Le Seuil, 2004.
  • Rallumer les étoiles, Calmann-Lévy, 2006.
  • Pour une Europe juste, Le Cherche Midi, 2011
  • L'Europe. Les défis à venir de la première puissance économique mondiale, Le Cherche Midi, 2014

Notes et références

  1. « Guigou (Élisabeth) », sur cvce.eu (consulté le ).
  2. Yves Denéchère, Femmes et diplomatie : France, XXe siècle, Peter Lang, , 200 p. (ISBN 978-90-5201-233-9, lire en ligne), p. 167.
  3. "Histoire familiale des hommes politiques français", par Marie-Odile Mergnac (1997)
  4. Effy Tselikas, « La saga des lycées français de là-bas », sur L'Express, (consulté le ).
  5. « L'homme de la semaine Jean-Louis Guigou « patron » de la Datar », lemoniteur.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. Who's Who in France, dictionnaire biographique, 1992-1993. Éditions Jacques Lafitte 1992.
  7. Yves Mamou, Une machine de pouvoir: la direction du trésor, Ed. La Découverte, coll. « Enquêtes », (ISBN 978-2-7071-1736-6)
  8. L'apprentissage de Guigou sur les routes du Vaucluse, Le Figaro, 19 août 2012.
  9. Compte rendu des débats de l'Assemblée nationale 3 novembre 1998
  10. Liste des membres de la Commission Trilatérale.
  11. « Magazine d’actualité », sur Future au Féminin (consulté le ).
  12. « blogs.ec.europa.eu/neelie-kroe… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  13. « Europe », sur Challenges (consulté le ).
  14. « annalindhfoundation.org/news/e… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  15. « Tunisie : Elisabeth Guigou a elle aussi des liens avec Aziz Miled », sur Nouvel Obs.com, (consulté le ).
  16. « Elisabeth Guigou démissionne du think tank lié à Aziz Miled », sur Libération, (consulté le ).
  17. « Le blog d'Elisabeth Guigou  » Législatives 2012 : le Bureau national du PS… », sur elisabeth-guigou.fr via Wikiwix (consulté le ).
  18. « Le blog d'Elisabeth Guigou  » Élections législatives en Seine-Saint-Denis : … », sur elisabeth-guigou.fr via Wikiwix (consulté le ).
  19. « Présidence de l'Assemblée: Elisabeth Guigou déclare sa "disponibilité" », sur lepoint.fr, .
  20. « Commission européenne : le match Moscovici-Guigou a commencé », sur Le Journal du dimanche (consulté le ).
  21. Sébastien Thomas, « Seine-Saint-Denis : quel candidat à la présidentielle votre élu a-t-il parrainé ? », sur leparisien.fr, (consulté le )
  22. Étienne Baldit, « Quittant la politique, Élisabeth Guigou (PS) flingue Hamon et milite pour que Cazeneuve reprenne le parti », lelab.europe1.fr, 4 juillet 2017.
  23. « «Pourquoi je soutiens l’engagement européen d’Emmanuel Macron», par Elisabeth Guigou », sur L'Opinion, (consulté le ).
  24. « Élisabeth Guigou va présider une commission sur l'inceste et les violences sexuelles », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  25. « Elisabeth Guigou à la tête d’une commission sur les violences sexuelles commises contre les enfants », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Fragilisée par l’affaire Olivier Duhamel, Elisabeth Guigou démissionne de la commission sur l’inceste », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Présidentielle 2022 : l'ancienne ministre socialiste Elisabeth Guigou soutient Emmanuel Macron », sur midilibre.fr, (consulté le ).
  28. « Compte rendu analytique officiel du 1 février 2023; Avis sur des nominations », sur Sénat, (consulté le ).
  29. Julia Pascual, « Les opposants de gauche à la GPA tentent de se mobiliser », lemonde.fr, 3 février 2016.
  30. Sa biographie sur le site de l'assemblée
  31. « Mme Guigou ancien ministre socialiste décorée du ouissam alaouite », sur www.maparchives.ma (consulté le )
  32. « Décret du 13 juillet 2018 portant promotion et nomination », sur legiondhonneur.fr (consulté le ).

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Élisabeth Guigou, sur Wikimedia Commons

Articles connexes

Liens externes

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v · m
Gouvernement Michel Rocard II ()
Sous la présidence de François Mitterrand
Éducation nationale, Jeunesse et Sports
Lionel Jospin, ministre d'État
Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement technique : Robert Chapuis
Secrétaire d'État chargé de la Jeunesse et des Sports : Roger Bambuck

Michel Rocard
Premier ministre
Économie, Finances et Budget
Pierre Bérégovoy, ministre d'État
Ministre délégué chargé du Budget : Michel Charasse
Secrétaire d'État chargé de la Consommation : Véronique Neiertz
Équipement et Logement
puis Équipement, Logement, Transports et Mer (2)
Maurice Faure, ministre d'État (dém) (2) puis Michel Delebarre (2) puis Louis Besson (7)
Ministre délégué chargé de la Mer : Jacques Mellick (changement de ministère de référence (2))
Secrétaire d'État chargé des Transports routiers et fluviaux : Georges Sarre (changement de ministère de référence (2))
Ministre délégué chargé du Logement (3) puis supprimé (7) : Louis Besson (3)
Ville (7) Michel Delebarre, ministre d'État (7)
Affaires étrangères
Roland Dumas, ministre d'État
Ministre délégué chargé de la Francophonie : Alain Decaux
Ministre délégué : Edwige Avice
Secrétaire d'État chargé des Relations culturelles internationales : Thierry de Beaucé
Ministre délégué chargé des Affaires européennes (6) : Élisabeth Guigou (6)
Justice, garde des sceaux
Pierre Arpaillange (dém) (6) puis Henri Nallet (6)
Ministre délégué (6) : Georges Kiejman (6)
Défense
Jean-Pierre Chevènement (dém) (8) puis Pierre Joxe (8)
Secrétaire d'État à la Défense (3) : Gérard Renon (3)
Intérieur
Pierre Joxe puis Philippe Marchand (8)
Secrétaire d'État chargé des Collectivités territoriales puis supprimé (5) : Jean-Michel Baylet
Ministre délégué (5) puis supprimé (8) : Philippe Marchand (5)
Industrie et Aménagement du territoire
Roger Fauroux
Ministre délégué chargé de l'Aménagement du territoire et des Reconversions : Jacques Chérèque
Ministre délégué chargé du Commerce et de l'Artisanat : François Doubin
Ministre délégué chargé du Tourisme : Olivier Stirn (dém) (4) puis Jean-Michel Baylet (5)
Affaires européennes puis min. supprimé (6) Édith Cresson (dém) (6) puis ministre délégué (6)
Transports et Mer
puis fusionné avec le min. de l'Équipement et du Logement (2)
Michel Delebarre
Ministre délégué chargé de la Mer : Jacques Mellick
Secrétaire d'État chargé des Transports routiers et fluviaux : Georges Sarre
Fonction publique et Réformes administratives Michel Durafour, puis ministre d'État (2)
Travail, Emploi et Formation professionnelle
Jean-Pierre Soisson
Secrétaire d'État chargé de la Formation professionnelle : André Laignel
Coopération et Développement Jacques Pelletier
Culture et Communication, Grands travaux et Bicentenaire
Jack Lang
Ministre délégué chargé de la Communication : Catherine Tasca
Secrétaire d'État chargé des Grands Travaux : Émile Biasini
Départements et Territoires d'outre-mer Louis Le Pensec
Agriculture et Forêt Henri Nalletpuis Louis Mermaz (6)
Postes, Télécommunications et Espace Paul Quilès
Relations avec le Parlement Jean Poperen
Solidarité, Santé et Protection sociale
puis Affaires sociales et Solidarité (6)
Claude Évin, porte-parole du Gouvernement
Ministre délégué chargé de la Santé : Léon Schwartzenberg (dém) (1) puis Bruno Durieux (6)
Ministre délégué chargé des Personnes âgées : Théo Braun (dém) (6)
Secrétaire d'État chargé de la Famille puis secrétaire d'État chargé de la Famille et des Personnes âgées (6) : Hélène Dorlhac de Borne
Secrétaire d'État chargé des Handicapés et Accidentés de la vie : Michel Gillibert
Recherche et Technologie Hubert Curien
Commerce extérieur
puis Commerce extérieur et Tourisme (4)
puis Commerce extérieur (5)
Jean-Marie Rausch
Droits des femmes Secrétaire d'État chargé des Droits des femmes : Michèle André
Anciens Combattants et Victimes de guerre Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants et des Victimes de guerre : André Méric
Prévention des risques technologiques
et naturels majeurs puis supprimé (3)
Secrétaire d'État chargé de la Prévention des risques technologiques et naturels majeurs, puis supprimé (3) : Gérard Renon
Ministre et secrétaires d'État
auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État du Plan : Lionel Stoléru
Secrétaire d'État chargé de l'Environnement puis secrétaire d'État chargé de l'Environnement et de la Prévention des risques technologiques et naturels majeurs (3) puis ministre délégué chargé de l'Environnement et de la Prévention des risques technologiques et naturels majeurs (6) : Brice Lalonde
Secrétaire d'État : Tony Dreyfus
Secrétaire d'État chargé de l'Action humanitaire : Bernard Kouchner
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
  • (6) Remaniement du
  • (7) Remaniement du
  • (8) Remaniement du
( ROCARD I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (CRESSON )
v · m
Gouvernement Édith Cresson ()
Sous la présidence de François Mitterrand
Éducation nationale
Lionel Jospin, ministre d’État
Secrétaire d'État à l'Enseignement technique : Jacques Guyard

Édith Cresson
Premier ministre
Économie, Finances, et Budget
Pierre Bérégovoy, ministre d’État
Ministre délégué au Budget : Michel Charasse
Ministre délégué à l'Industrie et au Commerce extérieur : Dominique Strauss-Kahn
Ministre délégué au Commerce et à l'Artisanat puis ministre délégué à l'Artisanat, au Commerce et à la Consommation (2) : François Doubin
Ministre délégué aux Postes et Télécommunications : Jean-Marie Rausch
Secrétaire d'État au Commerce extérieur : Jean-Noël Jeanneney
Affaires étrangères
Roland Dumas, ministre d’État
Ministre déléguée aux Affaires européennes : Élisabeth Guigou
Ministre déléguée à la Francophonie : Catherine Tasca
Secrétaire d'État à l'Action humanitaire : Bernard Kouchner
Secrétaire d'État aux Affaires étrangères : Alain Vivien
Fonction publique et Modernisation de l'administration (1) Jean-Pierre Soisson, ministre d’État (dém) (4)
Ville et Aménagement du territoire
Michel Delebarre, ministre d’État
Secrétaire d'État à la Ville et à l'Aménagement du territoire : André Laignel
Justice, garde des sceaux
Henri Nallet
Ministre délégué à la Justice : Michel Sapin
Défense
Pierre Joxe
Secrétaire d'État à la Défense : Jacques Mellick
Intérieur
Philippe Marchand
Secrétaire d'État aux Collectivités locales : Jean-Pierre Sueur
Culture et Communication
Jack Lang, porte-parole du Gouvernement
Ministre délégué à la Communication : Georges Kiejman
Secrétaire d'État aux Grands travaux : Émile Biasini
Agriculture et Forêt Louis Mermaz
Affaires sociales et Intégration
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Ministre délégué à la Santé : Bruno Durieux
Secrétaire d'État aux Affaires sociales et à l'Intégration : Kofi Yamgnane
Secrétaire d'État à la Famille et aux Personnes âgées puis secrétaire d'État à la Famille, aux Personnes âgées et aux Rapatriés (3) : Laurent Cathala
Secrétaire d'État aux Handicapés et Accidentés de la vie : Michel Gillibert
Travail, Emploi et Formation professionnelle
Martine Aubry
Secrétaire d'État aux Droits des femmes puis secrétaire d'État aux Droits des femmes et à la Vie quotidienne (2) : Véronique Neiertz
Équipement, Logement, Transports et Espace
Paul Quilès
Ministre délégué au Tourisme : Jean-Michel Baylet
Secrétaire d'État au Logement : Marcel Debarge
Secrétaire d'État aux Transports routiers et fluviaux : Georges Sarre
Secrétaire d'État à la Mer : Jean-Yves Le Drian
Coopération et Développement Edwige Avice
Départements et Territoires d'Outre-Mer Louis Le Pensec
Recherche et Technologie Hubert Curien
Relations avec le Parlement Jean Poperen
Jeunesse et Sports Frédérique Bredin
Environnement Brice Lalonde
Anciens Combattants et Victimes de guerre (1) Secrétaire d'État aux Anciens combattants et Victimes de guerre : Louis Mexandeau
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Rectificatifs publiés le 4 juin 1991
  • (2) Ajustements du 25 mai 1991
  • (3) Ajustement du 22 juillet 1991
  • (4) Remaniement du 28 mars 1992
( ROCARD II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BÉRÉGOVOY )
v · m
Gouvernement Pierre Bérégovoy ()
Sous la présidence de François Mitterrand
Éducation nationale et Culture
Jack Lang, ministre d'État
Secrétaire d'État à l'Enseignement technique : Jean Glavany
Secrétaire d'État à la Communication : Jean-Noël Jeanneney

Pierre Bérégovoy
Premier ministre
Affaires étrangères
Roland Dumas, ministre d'État
Ministre déléguée aux Affaires européennes : Élisabeth Guigou
Ministre délégué aux Affaires étrangères : Georges Kiejman
Ministre délégué à la Coopération et au Développement : Marcel Debarge
secrétaire d'État à la Francophonie et aux Relations culturelles extérieures : Catherine Tasca
Fonction publique et Réformes administratives Michel Delebarre, ministre d'État
Justice, garde des sceaux Michel Vauzelle
Intérieur et Sécurité publique
Paul Quilès
Secrétaire d'État aux Collectivités locales : Jean-Pierre Sueur
Défense
Pierre Joxe (dém) (5) puis Pierre Bérégovoy (5)
Secrétaire d'État aux Anciens combattants et Victimes de guerre : Louis Mexandeau
Secrétaire d'État à la Défense : Jacques Mellick
Économie et Finances
Michel Sapin
Ministre délégué au Commerce et à l'Artisanat : Jean-Marie Rausch (dém) (3) puis Gilbert Baumet (3)
Secrétaire d'État aux Droits des femmes et à la Consommation : Véronique Neiertz
Budget Michel Charasse (dém) (3) puis Martin Malvy (3)
Environnement Ségolène Royal
Équipement, Logement et Transports
Jean-Louis Bianco
Ministre déléguée au Logement et au Cadre de vie : Marie-Noëlle Lienemann
Secrétaire d'État aux transports routiers et fluviaux : Georges Sarre
Secrétaire d'État à la mer : Charles Josselin
Industrie et Commerce extérieur
Dominique Strauss-Kahn
Ministre délégué au Tourisme : Jean-Michel Baylet
Ministre délégué au Commerce extérieur (2) : Bruno Durieux
Ministre délégué à l'Énergie (3) : André Billardon (3)
Travail, Emploi et Formation professionnelle
Martine Aubry
Secrétaire d'État à la famille, aux personnes âgées et aux rapatriés : Laurent Cathala
Secrétaire d'État à l'intégration : Kofi Yamgnane
Secrétaire d'État aux handicapés : Michel Gillibert
Agriculture et Forêt
puis Agriculture et Développement rural (3)
Louis Mermaz puis Jean-Pierre Soisson (3)
Affaires sociales et Intégration René Teulade
Santé et Action humanitaire Bernard Kouchner
Ville
suspension entre le  (1) et le  (4)
Bernard Tapie (dém) (1) puis à nouveau ministre (4)
Départements et Territoires d'outre-mer Louis Le Pensec
Recherche et Espace Hubert Curien
Postes et Télécommunications Émile Zuccarelli
Jeunesse et Sports Frédérique Bredin
Relations avec le Parlement (3) Louis Mermaz, porte-parole du Gouvernement (3)
Secrétaire d'État auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement jusqu'au 2 octobre 1992 (3) : Martin Malvy, porte-parole du Gouvernement
Secrétaire d'État à l'Aménagement du territoire : André Laignel
Secrétaire d'État aux Grands Travaux : Émile Biasini
Secrétaire d'État à la Ville (2) jusqu'au  (4) : François Loncle (2)
Secrétaire d'État au Plan (4) : François Loncle (4)
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
( CRESSON) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BALLADUR )
v · m
Gouvernement Lionel Jospin () jusqu'au remaniement du
Sous la présidence de Jacques Chirac
Emploi et Solidarité
Martine Aubry
Ministre délégué à la Ville (2) : Claude Bartolone (2)
Secrétaire d'État à la Santé puis ministre délégué à la Santé et à la Solidarité (5) : Bernard Kouchner (dém) (8) puis Dominique Gillot (9)
Secrétaire d'État à la Formation professionnelle (2) puis secrétaire d'État aux Droits des femmes et à la Formation professionnelle (5) : Nicole Péry (2)

Lionel Jospin
Premier ministre
Justice, garde des sceaux Élisabeth Guigou
Éducation nationale, Recherche et Technologie
Claude Allègre
Ministre délégué chargé de l'Enseignement scolaire : Ségolène Royal
Intérieur
Jean-Pierre Chevènement puis par intérim Jean-Jack Queyranne (3) puis à nouveau Jean-Pierre Chevènement (6)
Secrétaire d'État à l'Outre-mer : Jean-Jack Queyranne
Affaires étrangères
Hubert Védrine
Ministre délégué chargé des Affaires européennes : Pierre Moscovici
Secrétaire d'État à la Coopération puis ministre délégué à la Coopération et à la Francophonie (1) : Charles Josselin
Économie, Finances et Industrie
Dominique Strauss-Kahn (dém) (10) puis Christian Sautter (10)
Secrétaire d'État au Commerce extérieur : Jacques Dondoux (dém) (9) puis François Huwart (9)
Secrétaire d'État au Budget : Christian Sautter puis Florence Parly (11)
Secrétaire d'État aux Petites et Moyennes Entreprises, au Commerce et à l'Artisanat : Marylise Lebranchu
Secrétaire d'État à l'Industrie : Christian Pierret
Défense
Alain Richard
Secrétaire d'État aux Anciens Combattants puis secrétaire d'État à la Défense, chargé des Anciens Combattants (7) : Jean-Pierre Masseret
Équipement, Transports et Logement
Jean-Claude Gayssot
Secrétaire d'État au Logement : Louis Besson
Secrétaire d'État au Tourisme : Michelle Demessine
Culture et Communication Catherine Trautmann, porte-parole du Gouvernement jusqu'au  (2)
Agriculture et Pêche Louis Le Pensec (dém) (4) puis Jean Glavany (4)
Aménagement du territoire et Environnement Dominique Voynet
Relations avec le Parlement Daniel Vaillant
Fonction publique, Réforme d'État
et Décentralisation
Émile Zuccarelli
Jeunesse et Sports Marie-George Buffet
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Ajustement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Ajustements du
  • (6) Remaniement du
  • (7) Ajustement du
  • (8) Remaniement du
  • (9) Remaniement du
  • (10) Remaniement du
  • (11) Remaniement du
( JUPPÉ II) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (RAFFARIN I )
v · m
Gouvernement Lionel Jospin () après le remaniement du
Sous la présidence de Jacques Chirac
Économie, Finances et Industrie
Laurent Fabius
Secrétaire d'État au Commerce extérieur : François Huwart
Secrétaire d'État au Budget : Florence Parly
Secrétaire d'État aux Petites et Moyennes Entreprises, au Commerce, à l'Artisanat et à la Consommation : Marylise Lebranchu puis François Patriat (2) puis fonction fusionnée (8)
Secrétaire d'État à l'Industrie puis ministre délégué à l'Industrie, aux Petites et Moyennes Entreprises, au Commerce, à l'Artisanat et à la Consommation (8) : Christian Pierret

Lionel Jospin
Premier ministre
Emploi et Solidarité
Martine Aubry (dém) (2) puis Élisabeth Guigou (2)
Ministre déléguée à la Famille et à l'Enfance puis Ministre déléguée à la Famille, à l'Enfance et aux Personnes handicapées (4) : Ségolène Royal
Ministre délégué à la Ville : Claude Bartolone
Secrétaire d'État à la Santé et aux Handicapés : Dominique Gillot puis ministre délégué à la Santé (3) : Bernard Kouchner (3)
Secrétaire d'État aux Personnes âgées et aux Personnes handicapés (3) :Dominique Gillot (3) puis (dém) (4) puis secrétaire d'État aux Personnes âgées (4) : Paulette Guinchard-Kunstler (4)
Secrétaire d'État aux Droits des femmes et à la Formation professionnelle : Nicole Péry
Secrétaire d'État à l'Économie solidaire : Guy Hascoët
Justice, garde des sceaux Élisabeth Guigou puis Marylise Lebranchu (2)
Intérieur
Jean-Pierre Chevènement (dém) (1) puis Daniel Vaillant (1)
Secrétaire d'État à l'Outre-mer : Jean-Jack Queyranne puis Christian Paul (1)
Éducation nationale
Jack Lang
Ministre délégué chargé de l'Enseignement professionnel : Jean-Luc Mélenchon
Affaires étrangères
Hubert Védrine
Ministre délégué chargé des Affaires européennes : Pierre Moscovici
Ministre délégué à la Coopération et à la Francophonie : Charles Josselin
Défense
Alain Richard
Secrétaire d'État à la Défense, chargé des Anciens Combattants : Jean-Pierre Masseret (dém) (6) puis Jacques Floch (6)
Équipement, Transports et Logement
Jean-Claude Gayssot
Secrétaire d'État au Logement : Louis Besson (dém) (4) puis Marie-Noëlle Lienemann (4)
Secrétaire d'État au Tourisme : Michelle Demessine (dém) (7) puis Jacques Brunhes (7)
Culture et Communication
Catherine Tasca
Secrétaire d'État au Patrimoine et à la Décentralisation culturelle : Michel Duffour
Agriculture et Pêche Jean Glavany (dém) (8) puis François Patriat (8)
Aménagement du territoire et Environnement Dominique Voynet (dém) (2) puis Yves Cochet (5)
Relations avec le Parlement Daniel Vaillant puis Jean-Jack Queyranne (1)
Fonction publique et Réforme d'État Michel Sapin
Jeunesse et Sports Marie-George Buffet
Recherche Roger-Gérard Schwartzenberg
  • Ordonnancement par ordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
  • (6) Remaniement du
  • (7) Remaniement du
  • (8) Remaniement du
( JUPPÉ II) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (RAFFARIN I )
v · m
Ministres français de la Justice (depuis 1871)
IIIe République
(1870-1940)
Régime de Vichy
(1940-1944)
Gouvernement provisoire
(1944-1946)
IVe République
(1946-1959)
Ve République
(depuis 1959)
  • Ministère de la Justice
  • Ministre de la Justice
v · m
IIIe République
(1906-1940)
Seconde Guerre mondiale
(1940-1944)
Régime de Vichy
CNF et CFLN
GPRF et IVe République
(1944-1958)
Ve République
(depuis 1959)
t Ministre du Travail ; a Ministre des Affaires sociales ; e Ministre de l'Emploi ; s Ministre de la (des) Solidarité(s)
Articles connexes : Ministère du Travail ; Ministère des Affaires sociales
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