Jean-Louis Jorge
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Naissance | Santiago de los Caballeros (République dominicaine) |
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Nationalité | ![]() |
Décès | Saint-Domingue |
Profession | Réalisateur |
Films notables | Les Serpents de la lune des pirates Mélodrame |
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Jean-Louis Jorge est un réalisateur dominicain, né en 1947 à Santiago de Los Caballeros et mort le à Saint-Domingue[1].
Biographie
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Fils d'un père cardiologue et d'une mère mannequin, Jean-Louis Jorge a étudié le cinéma et le théâtre à l'UCLA à Los Angeles. Il réalise son premier long métrage, Les Serpents de la lune des pirates, avec une équipe d'étudiants et un budget dérisoire[2]. Le film obtient le grand prix Cinéma d'aujourd'hui au festival de Toulon 1973[3].
En 1980 il a deux films en projet : Bolero et Frisson d'amour[4]
Il a été présenté comme un « auteur culte » parmi les cinéastes latino-américains[5].
En 2019, Laura Amelia Guzman présente à la Berlinale un film hommage à Jean-Louis Jorge, La fiera y la fiesta[6],[7].
Jean-Louis Jorge était le mari d'Edwige, « reine des punks », âgée de quinze ans de moins que lui. Il est mort assassiné à Saint-Domingue[8].
Filmographie
- 1969 : Oh, My Crazy Aunts! (court métrage)
- 1998 : Cuando un amor se va
- 1973 : Les Serpents de la lune des pirates[9],[10],[11],[12]
- 1976 : Mélodrame[13],[14],[15]
Théâtre
- 1974 : M. M. Maggie Moon : mais qui était donc cette petite blonde ? (mise en scène et acteur)[16]
Notes et références
- ↑ (es) « CINEASTA-Jean-Louis-Jorge », sur cinelatinoamericano.org (consulté le ).
- ↑ Jean-Louis Jorge par Nancy Dowd, avril 2020 [1]
- ↑ Articles dans Positif, Cinéma 73, La Revue du cinéma
- ↑ Haïti, Saint-Domingue (lire en ligne)
- ↑ (es) El Espectador, « Jean-Louis Jorge: uno de los secretos mejor guardados del cine latinoamericano », El Espectador, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ (es) « Agencia EFE », sur EFE Noticias (consulté le ).
- ↑ (en) « Espectadores.com.ar », sur espectadores.com.ar (consulté le ).
- ↑ Simon Liberati, Les Inrocks, 3 octobre 2015 [2]
- ↑ Charles Bechtold. Critique parue dans Le Cinématographe, n°6, février 1974
- ↑ Gérard Frot-Coutaz. Critique parue dans Cinéma n°183, janvier 1974
- ↑ Marcel Martin. Critique parue dans Écran n°21, p. 52, janvier 1974
- ↑ (es) El cine es mejor que la vida, , 175 p. (lire en ligne), p. 82
- ↑ Jacques Grant. Critique parue dans Cinéma n°211, p. 126, juillet 1976
- ↑ Jean-Claude Biette, Paul Vecchiali. Critique parue dans Image et Son n°311, p. 96, novembre 1976
- ↑ Barthélémy Amengual. Critique parue dans Positif n°186, p. 123, juillet 1976
- ↑ Les Archives du spectacle [3]
Annexes
Bibliographie
- Lucien Dahan, Cinématographe, no 19, , p. 29 (entretien)
- Gérard Frot-Coutaz, « Jean-Louis Jorge », Cinéma 76, no 212-213, , p. 220 (entretien)
- (es) « Un cineasta dominicano que trabaja en Paris », Opiniones, Agencia Latinoamericana, (lire en ligne)
Liens externes
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