Les Seigneurs de la forêt

Cet article est une ébauche concernant un film belge.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les conventions filmographiques.

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Les Seigneurs de la forêt est un film documentaire belge de long métrage en cinémascope de 1958, réalisé par Henry Brandt avec un texte d'Heinz Sielman et consacré à la faune, à la flore et à l'étude ethnographique des populations congolaises[1]. Ce film fut le fruit d'un important travail de prises de vues et de montage dont des critiques jugèrent que le résultat était « captivant, impressionnant et émouvant par son réalisme »[2] et qu'il exprimait « une haute tenue esthétique, une haute tenue scientifique également grâce à la coopération de savants éminents appartenant à diverses nations »[3]. Pour en arriver à ce résultat, il fallut faire un choix dans 60 000 mètres de pellicule. Le montage fut confié à l'Anglais Lewis Linzee, connu pour avoir travaillé pour la Gaumont British, et la distribution internationale à la Twentieth Century Fox qui en tira vingt-deux versions en diverses langues, la version anglaise étant dite par Orson Welles. Une série de films éducatifs fut encore bâtie d'après les chutes[4].

Notes et références

  1. Francis Bolen, Histoire authentique du cinéma belge, Éditions Memo & Codec, Bruxelles, 1975, page 394.
  2. « Deze film is boeiend, indrukwekkend, aangrijpend en ontroerend door wat hij als werkelijkeid brengt », Joz Van Liempt, Film en Televisie, décembre 1958.
  3. André Falk, alias « Sacripan » dans l'hebdomadaire PAN, Bruxelles 26-11-1958.
  4. Francis Bolen, Histoire authentique du cinéma belge, Éditions Memo & Codec, Bruxelles 1975, page 397.

Liens externes

  • Ressources relatives à l'audiovisuelVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Allociné
    • British Film Institute
    • Centre national du cinéma et de l'image animée
    • IMDb
    • LUMIERE
    • OFDb
    • The Movie Database
  • icône décorative Portail du cinéma belge
  • icône décorative Portail des années 1950
  • icône décorative République démocratique du Congo